"Voici ma réponse à Causette envoyé en décembre: Chère Causette,
C’est avec grande joie que j’ai lu votre hors série “Voyage en Clitorie” — c’est la fête! Je m’en suis procuré plusieurs exemplaires pour faire des cadeaux de Noël.
Je suis tout de même un peu troublée par votre article sur la méditation orgasmique “pas si bandante” qui en dit très peu sur la pratique en elle-même, et beaucoup sur One Taste. Je suis une joyeuse pratiquante de la M.O. depuis plus d’un an et je n’ai aucun contact avec One Taste que je trouve, comme vous le montrez bien dans votre article, un peu louche sur les bords. Ceci dit, quel dommage! Car la pratique est juste géniale pour les femmes, mais alors, vraiment! Il faut le dire!!!! Dans quelle autre circonstance est-ce qu’une femme peut être aussi bien servie de plaisir, aussi libre d’explorer ses sensations et toute la surface de son globe celeste sans devoir “rendre le service” à son partenaire par la suite. Il s’agit d’un quart d’heure de pleine conscience durant lequel la femme reçoit (on pratique d’habitude 2 ou 3 M.O. par la suite, donc une demie heure ou trois-quart d’heure.) Elle est passive quoique active au niveau de la perception de ses sensations. Si cela paraît évident, ça ne l’est pas. Comme dit Colette — “peu de femmes savent, les mains vides, se tenir immobiles et sereines.” Personnellement, je suis beaucoup dans le “faire”; la M.O. me permet de me restituer dans mon élément féminin et de me fondre dans le plaisir exquis d’être une femme tout simplement.
Je fais de la M.O. une fois par semaine avec un partenaire qui respecte parfaitement le cadre et le protocole de l’exercice — car la MO est très encadré pour assurer la sécurité de la femme. Grâce à cette pratique, et avec les connaissances que j’ai pu acquérir à travers le tantra, j’ai augmenté ma capacité orgasmique d’une manière stupéfiante. Dans la M.O., il n’y a pas de but, donc pas de pression d’avoir un orgasme “classique” (climax en anglais), résultat d’un surplus de tensions. C’est justement cette lâcher prise qui m’a permis de découvrir l’orgasme en expansion, l’orgasme qui n’en finit pas; disons l’orgasme-qui-dure-très-très-longtemps. Il s’agit dans mon expérience d’une jouissance qui booste l’énergie, la libido, la joie de vivre et rend la femme encore plus belle et puissante. Cette puissance a peu a voir avec le pouvoir “masculin”; elle ouvre les portes de la conscience, du plaisir et de la relation profonde avec soi-même et l’autre.
Je suis fan de la M.O. et la conseille aux femmes qui se sentent prêtes à faire le pas vers l’approfondissement de leur jouissance. Il est temps, je pense, que nous les femmes oeuvrions ensemble à créer la Clitorie sur Terre. Merci à Causette de nous débarquer en plein centre du bouton."
Anne 52 ans, Parisienne
C’est avec grande joie que j’ai lu votre hors série “Voyage en Clitorie” — c’est la fête! Je m’en suis procuré plusieurs exemplaires pour faire des cadeaux de Noël.
Je suis tout de même un peu troublée par votre article sur la méditation orgasmique “pas si bandante” qui en dit très peu sur la pratique en elle-même, et beaucoup sur One Taste. Je suis une joyeuse pratiquante de la M.O. depuis plus d’un an et je n’ai aucun contact avec One Taste que je trouve, comme vous le montrez bien dans votre article, un peu louche sur les bords. Ceci dit, quel dommage! Car la pratique est juste géniale pour les femmes, mais alors, vraiment! Il faut le dire!!!! Dans quelle autre circonstance est-ce qu’une femme peut être aussi bien servie de plaisir, aussi libre d’explorer ses sensations et toute la surface de son globe celeste sans devoir “rendre le service” à son partenaire par la suite. Il s’agit d’un quart d’heure de pleine conscience durant lequel la femme reçoit (on pratique d’habitude 2 ou 3 M.O. par la suite, donc une demie heure ou trois-quart d’heure.) Elle est passive quoique active au niveau de la perception de ses sensations. Si cela paraît évident, ça ne l’est pas. Comme dit Colette — “peu de femmes savent, les mains vides, se tenir immobiles et sereines.” Personnellement, je suis beaucoup dans le “faire”; la M.O. me permet de me restituer dans mon élément féminin et de me fondre dans le plaisir exquis d’être une femme tout simplement.
Je fais de la M.O. une fois par semaine avec un partenaire qui respecte parfaitement le cadre et le protocole de l’exercice — car la MO est très encadré pour assurer la sécurité de la femme. Grâce à cette pratique, et avec les connaissances que j’ai pu acquérir à travers le tantra, j’ai augmenté ma capacité orgasmique d’une manière stupéfiante. Dans la M.O., il n’y a pas de but, donc pas de pression d’avoir un orgasme “classique” (climax en anglais), résultat d’un surplus de tensions. C’est justement cette lâcher prise qui m’a permis de découvrir l’orgasme en expansion, l’orgasme qui n’en finit pas; disons l’orgasme-qui-dure-très-très-longtemps. Il s’agit dans mon expérience d’une jouissance qui booste l’énergie, la libido, la joie de vivre et rend la femme encore plus belle et puissante. Cette puissance a peu a voir avec le pouvoir “masculin”; elle ouvre les portes de la conscience, du plaisir et de la relation profonde avec soi-même et l’autre.
Je suis fan de la M.O. et la conseille aux femmes qui se sentent prêtes à faire le pas vers l’approfondissement de leur jouissance. Il est temps, je pense, que nous les femmes oeuvrions ensemble à créer la Clitorie sur Terre. Merci à Causette de nous débarquer en plein centre du bouton."
Anne 52 ans, Parisienne
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