Slow Sex & Tantra :
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Pour être une femme libérée ;)
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Tu seras un homme mon fils :
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Mieux se comprendre pour mieux s'aimer :
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Connaissance du corps féminin :
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Michel Odent sur les états orgasmiques :
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Gestion des émotions, de la souffrance et les bienfaits des limites dans les relations :
Sortir l'amour des moules :
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Films :
Du cinéma en liberté. Intelligent, sensible, drôle, impertinent.
Un petit bijou de fantaisie et de cinéma.
Un film militant de la tolérance et de respect de l’autre."
LUTINE est un OFNI : un Objet filmique non identifié L’histoire d’une réalisatrice qui décide de tourner, là maintenant tout de suite, un nouveau film à mi-chemin entre documentaire et fiction, sur les amours plurielles. A l’arrivée, son film sera un montage improbable entre d’un côté, un vrai documentaire sur la polyamorie, et de l’autre, le faux making of de son tournage, devenu fiction véritable quand elle embauche un comédien pour jouer le rôle de son amoureux dans la vie. Brouillant les pistes entre réalité et fiction, tout devient possible…
“ Voici un film qui jouit et nous fait jouir sans entraves. Jérôme Soubeyrand réalise un film libertaire en toute liberté. Il nous laisse à voir et à penser qu’un film peut se faire avec le désir tout en nous montrant le désir. Sa caméra nous donne la pêche car elle nous prouve que l’on peut filmer à la première personne en incluant le spectateur et en le passionnant tout en restant hermétique aux lois du marché. ” Thomas Gilou
“ C’est un beau petit OVNI, une comédie, sans concessions mais avec beaucoup de sensualité, de poésie, de tendresse, d’humour, d’intelligence et de pertinence… Ajoutez à cela un propos qui dérange, une écriture ciselée, des acteurs investis et très justes, un montage percutant…Amoureux du cinéma « hors normes », allez-y sans crainte, car, bien que très personnel, on y trouve aussi une certaine parenté avec Almodovar et ça, c’est plutôt sympathique ” Philippe Saïda
Spectacles :
Co-conception et mise en scène : Frédérique Aït-Touati
Assistante : Elsa Blin
Durée : 1h20
Au commencement, il y a cette envie de chercher ce que les femmes de la Renaissance ont pu dire au sujet de leur corps et de leur plaisir.
Les hommes ont laissé toute une littérature sur le sujet, alors… pourquoi pas les femmes ?
Durant deux ans, Nicolas Raccah et Frédérique Aït-Touati ont cheminé en quête de ces textes, et (re)découvert, dans les bibliothèques, en lieu et place de ces voix, l’hydre aux mille visages de la misogynie en Occident.
Parole interdite aux femmes, pudeur exigée, humilité, discrétion… Tout un éventail d’obligations et de contraintes sur lesquelles notre monde s’est construit, afin de réserver aux hommes les honneurs, la valeur et les prérogatives.
Fruit de leur collaboration, le spectacle se tisse autour du parcours d’un homme d’abord sûr de son élan, et qui lentement se décompose, à mesure qu’il touche du doigt cette Histoire qu’on ne lui a jamais apprise.
Puis suivra la refondation : quel homme devenir, lorsqu’on a commencé à prendre conscience d’un héritage aussi pesant ?
Sa remontée vers la lumière se fera grâce au soutien de femmes puissantes qui ont refusé de se taire.
« Prise de conscience époustouflante de la manière dont les hommes ont muselé la parole érotique des femmes. »
(Marie de Hennezel – Psychologies Magazine – Nov. 2016)
« Un voyage intime à la recherche de paroles perdues, oubliées ou cachées, de femmes. J’ai eu la sensation qu’on venait poser la main, délicatement mais fermement, sur des blessures profondément enfouies dans l’inconscient collectif féminin. Entendre un homme dire ses prises de conscience et conter sa quête intérieure au moyen de textes de femmes, agit tel un baume sur ces blessures. »
Elle dévoile avec un plaisir non dissimulé les fruits de sa recherche passsionée sur les textes de Wilhelm Reich concernant l'orgasme et sa fonction vitale.