Notre intention est de rester connecté quoi qu'il arrive ; utiliser nos relations comme un chemin d'évolution et de compréhension, afin de révéler et restaurer notre besoin fondamental de connexion.
Nous le faisons au travers de la pratique de la méditation orgasmique, où, pendant 15 minutes, nous nous connectons, et nous ressentons ce qui est. Nous croyons que toute souffrance vient d'une altération de la connexion. Il y a très peu de guides pour apprendre à optimiser nos connexions dans la vie. Nous connaissons mal les façons de développer la capacité de rester dans des moments intenses. Nous avons peu conscience de nos réflexes d'opposition, de fuite, ou de paralysie. Nous concevons les relations comme une pratique - le but étant de ressentir une connexion ininterrompue. C'est à cela que nous reconnaissons des liens relationnels réalisés. Toutes les souffrances humaines sont une tentative de compenser un manque de connexion. Le désir est à la racine de la connexion humaine. Voici quelques pensées qui nous éloignent de nos désirs: 1. Je ne peux pas l'obtenir ; c'est hors de portée 2. Je ne le mérite pas 3. Je pense que c'est un désir injustifié, mauvais. 4. J'ai peur d'ouvrir les vannes de mon désir, j’ai peur d’être insatiable, alors je choisis une compensation à la place de mon désir initial. J'ai peur que mon désir soit trop fort. Si nous ne faisons pas confiance à notre désir, nous choisissons des comportements de compensation qui remplacent nos plus profonds désirs. 1. Résoudre des problèmes - faire dépendre notre satisfaction de l’obtention de résultats et fuir dans l’action 2. Eviter de s’y confronter - se protéger en refusant de nous engager 3. Devenir un fantôme affamé : désir qui ne peut jamais être rassasié quelle que soit la quantité consommée 4. Vouloir faire coller son désir à une représentation, une image publicitaire : films porno, conte de fées 5. Obtenir des biens compensatoires: achats compulsifs, 6. Ruser pour obtenir de l’attention, car vous ne croyez pas que c'est possible juste en étant vous-mêmes 7. Osciller entre privation et excès : relations d'amour-haine, régimes en yoyo. 8. Essayer de pomper plus de satisfaction d'une situation qu'elle ne peut en fournir. Pour essayer de contrôler le degré d'intimité dans nos relations, nous utilisons trois méthodes principales : la rétention, la provocation, et le brouillage. Ce sont les moyens par lesquels nous désorientons les autres sur la façon de nous atteindre/toucher. Souvent ces comportements sont inconscients et involontaires, comme le maintien de notre température par la transpiration. En prenant conscience de nos comportements autour de l'intimité, nous pouvons élargir notre zone d’équilibre homéostatique, nos réflexes de fonctionnement habituels. Pour cela, il y a deux éléments nécessaires: l'introspection et les pratiques. L'introspection sans pratique peut rester mentale et prêter aux illusions. La pratique sans introspection peut nous enfermer dans des rituels plutôt que des relations vivantes. Ce à quoi nous aspirons est une forme de liberté inconditionnelle, la capacité d'être dans n'importe quelle situation avec facilité et aisance. Nous y parvenons en jouant répétitivement le long et à travers des frontières de notre intimité jusqu'à ce qu'elles ne soient plus des frontières, et nous y obtenons un cran de liberté supplémentaire à chaque fois. Il ne s'agit donc pas là d'un amour par la suppression des émotions négatives. Nous acceptons de goûter et traverser chaque saveur du spectre de nos émotions, de trouver les endroits où nous sommes bloqués ou rétractés, et en les traversant en conscience jusqu'à nous en libérer. Cette démarche mène à une ressentir pour tout un amour organique, spontané, presque involontaire. Cet amour est notre état naturel, libéré des peurs, des doutes et des entraves. Il est atteint non pas malgré, mais au travers des défis humains dans lesquels nos liens relationnels nous immergent. De cette façon, être en relation peut être vécu comme une pratique, un chemin d'éveil qui demande non seulement de l'engagement, de la discipline et de l’honnêteté, mais aussi du lâcher prise. Nous pouvons vivre toute notre vie sans lâcher prise, mais sans lâcher prise on ne vit pas la connexion dans l'altérité. C'est seulement lorsque nous nous laissons aller dans le mystère qu'est "l'autre" que nous nous découvrons nous-même. Un texte de Nicole Daedone , qui a créer la méditation orgasmique. Traduit par mon amie Marianne Souliez : http://mariannesouliez.com
Texte en version originale; http://nicoledaedone.com/letter-of-apology-to-men/ "Lettre d’excuse aux hommes 15 Janvier 2012 Dans l’esprit des tonnes d’ « Excuses faites aux femmes » qui ont surgi sur Facebook il y a quelques temps, je me suis dit que, en tant qu’espèce, nous les femmes tardons à apporter une réponse. Ces pauvres hommes, on leur met tout sur le dos! Je m’insurge! Les gars, voici une réponse. Qu’à présent tous les êtres sensibles s’épanouissent sexuellement. C’est avec beaucoup de regret et de tristesse que j’écris cette lettre. Elle est adressée à tous les hommes avec lesquels je suis sortie (ou assimilé) et je veux énoncer les mots les plus difficiles à prononcer pour moi: Je m’excuse. Je m’excuse pour le fait que je n’ai pas fait le travail visant à reconnaître que — en dépit de toutes les illusions auxquelles je me suis désespérément accrochée — il n’y a pas à y couper: je ne pourrai me contenter de moins que tout de ta part. Je sais que j’ai dit que tout irait bien si tu m’achetais une autre paire de chaussures ou si nous passions les sept prochaines heures à réfléchir. Je sais que j’ai fait des promesses subtiles comme quoi tu n’avais rien d’autre à faire que d’être là, de patienter et de me laisser t’aimer, ou qu’une fois que nous serions « installés », je serai heureuse. J’ai menti. Je m’excuse pour le fait que je rechignais à répondre à la question de ce que veulent les femmes, te laissant frustré et confus. Je l’ai laissée obscure et en suspens parce que je croyais que tu dirais non. Je te veux, tout entier, pleinement éveillé et prêt à jouer. Je veux que tu t’occupes de moi pour que je puisse arrêter de m’occuper de tout. Je veux que tu me dises: arrête, arrête-toi, allonge-toi — et savoir que tu est complètement capable de prendre le relais. Je n’y croirai pas la première fois (ni la deuxième, ni la troisième). Je n’y croirai pas tant que tu ne me l’auras pas montré et remontré. Je veux que tu aies le désir de vaincre mon doute à force de persuasion. Je m’excuse pour tous les écrans de fumée que j’ai dressés, pour tenter de cacher ma question toute simple qui n’appelait qu’un oui ou un non: veux tu venir en profondeur avec moi, mettre tout en jeu et voir ce que nous en sortons, ou pas? J’ai laissé la barre à ma peur: peur que, étant un homme, tu aurais peur de t’engager,— non l’engagement du mariage mais l’engagement de l’âme — à aller aussi loin que nécessaire pour voir ce dont toi, moi, nous sommes faits. (Oui, je sais t’atteindre là où ça fait mal, comment activer cette crainte et ensuite faire genre « Qui, moi? »). J’attends que tu t’engages, c’est tout. Je n’ai pas dit que j’étais aussi effrayée que toi, même si j’ai l’air d’être celle qui met la pression. Je m’excuse de ne pas avoir posé les questions difficiles au début. D’avoir en fait été une dealeuse de drogue, avec l’espoir que tu serai tellement accro que tu ne pourrais plus t’en sortir. Au lieu de te demander si tu voulais plonger, si ça t’excitait, si tu étais prêt. J’espérais que nous pourrions aborder le sujet quand il se présenterait. Et à chaque fois, quand cela a été le moment, quand l’addition est arrivée, tu t’es senti trompé et furieux. Et avec raison. Je m’excuse pour les fois où j’ai utilisé le sexe comme une monnaie d’échange— pour te faire m’aimer, me vouloir, me réclamer. Et ensuite, une fois que je t’avais eu et que tu n’avais plus besoin de marchander, d’avoir arrêté de faire l’amour. Je m’excuse de t’avoir considéré comme une conquête sécuritaire, en te donnant le meilleur sexe de ta vie juste avant que tu ne me promettes de t’engager. Je m’excuse pour l’énorme mensonge que j’ai initié, que j’étais une « étendue finie », et que, une fois que tu aurais bouclé toutes les tâches de la liste, nous pourrions revenir à ton emploi du temps habituel et régulier — que tu pourrais retourner au calme et au confort de ton mental et que je te laisserai seul dans ton sanctuaire, loin de mon chaos et de mon imprévisibilité. Je suis désolée de ne pas avoir dit: je te veux tout entier et je veux que tu m’aies toute entière, et si nous devons être dans ce type de relation, cela va impliquer un engagement de chaque instant de part et d’autre — ce n’est pas une affaire qui se boucle en une fois. On ne gagne pas l’autre pour ensuite rayer ça de la liste et passer à d’autres choses plus productives. Le fait d’obtenir l’autre n’est pas la fin du jeu mais le début. Et le jeu ne s’arrête jamais. Je me suis fait passer pour « facile » (comme le manche gratuit du rasoir). Je dois avouer que je suis tout sauf facile et je suis un défi de plus en plus grand et non pas l’inverse. Je ne suis pas une piste verte. Attention. Et je m’excuse d’avoir joué à celle qui est « gentille » — parce que, en tant que femme, la seule manière que j’ai d’être gentille est d’éteindre tout le reste de qui je suis. Je ne t’ai pas dis clairement que j’étais comme un saut d’obstacles et que tu obtiens le répit passager de la gentillesse dans deux cas: quand je laisse tomber, ou quand tu comprends le Rubic’s cube et que tu sais comment t’occuper de moi. Ma gentillesse est la chose la plus cruelle que je puisses t’offrir, car sans défi, tu deviens un homme médiocre. Je m’excuse d’avoir cu que mon seul pouvoir avec toi était la retenue ou la retraite. D’avoir cru que tu étais trop faible et trop fragile pour soutenir ma puissance et ma colère. D’avoir marché sur des oeufs avec toi, en veillant à ne pas égratigner ton ego, sous peine de te voir me quitter pour une femme « plus facile ». Je vais te dire qu’à la racine de la gentillesse sage se trouve la rage de tout ce que je crois ne pas pouvoir te dire. Et qu’aux endroits où l’on est arrivé au choix entre l’explosion baiser-ou-se battre, et l’impuissance héréditaire qui est le résultat de la gentillesse, souvent j’ai choisi la deuxième. Je n’ai pas eu le courage d’être une femme forte, le genre de femme qui fait de toi un roi, mais juste une femme bien qui va « te soutenir », au lieu d’être la reine qui t’astreindrait, te propulserait, te forgerait. Oui, je m’excuse de ne pas avoir admis que je suis celle qui détient le pouvoir et toi l’autorité pour faire appliquer les lois. Je m’excuse de ne pas avoir appris à tenir ou exercer ce pouvoir de telle manière que les avantages de le servir soient évidents. Je m’excuse de ne pas avoir reconnu que ce pouvoir prenait sa racine dans ma sexualité — de t’avoir laissé tout seul porter l’aspect sexuel pour nous deux, et ensuite d’avoir joué la victime quand tu es venu me chercher. Je n’ai pas tenu ma part du marché de la sexualité en assumant toute cette faim et tout ce désir; j’ai projeté le tout sur toi. Nous avons tous deux perdu dans cette équation. Parce que je ne veux rien de plus fort que de t’avoir en moi, mais admettre ça, l’assumer totalement, veux dire accepter la responsabilité totale d’être une femme plutôt qu’une fille. Et j’ai souvent l’impression de perdre les bénéfices d’être mignonne et gentille et facile. Et je m’excuse de nous avoir vendus à bas prix, d’avoir, en atteignant cet état affamée- en colère-seule-fatiguée, perdu la foi en toi et compensé en mangeant, en me disputant, en te baisant et en retournant sous les couvertures me cacher, au lieu d’avoir confiance que tu serais capable de m’offrir la nourriture, la puissance, le genre de sexe où je ne sais plus qui je suis et où je m’éveille. Il n’y a AUCUNE excuse. Je m’excuse plus que tout pour avoir cru que je pouvais être cette femme-là et d’avoir ensuite essayé de te vendre ce gros mensonge. J’ai essayé, j’ai enfilé tous les corsets mentaux et émotionnels que je pouvais. J’ai tenté de sourire et de rire et d’être facile à vivre, comme une de ces chansons des années 70 où l’on me verrait marchant sur la plage dans une robe blanche avec des longs cheveux bruns soulevés par la brise. Ou en train de changer la couche d’un bébé en te souriant, si fière que tu puisses être le père de mon bébé. J’ai même essayé d’être triste et malade pour que tu puisses te sentir fort et protecteur, pour que tu puisses te sentir être la définition que la société donnait d’un homme. Le problème c’est que je ne veux pas de cet homme-là. (Et j’en ai assez des bandes Velpeau et des boîtes de kleenex). J’ai aussi essayé d’être la bonne proie, de garder tous mes secrets, mon désir, ma passion et ma faim, ma faim inexorable de sexe, pour que tu puisses me pourchasser, pour que je puisse pousser un cri et que tu puisses frapper ta poitrine et venir me prendre. Je ne peux pas m’en empêcher, mon désir est sans borne, rusé et indomptable. Et je vois quand cette part de moi ressort, la manière dont tu penses que je suis folle, un peu effrayante, et que tu ne sais plus très bien quoi faire de toi-même et que tu commences à étudier la meilleure façon de faire le ménage à la manière d’un homme qui, parce qu’il n’a jamais rencontré quelque chose d’aussi sauvage et qu’il est mort de trouille regarde du porno hardcore, juste pour goûter ce que ça ferait de se sentir à nouveau normal. Je suis désolée de m’être contentée d’amour sans passion. Je suis désolée pour toutes les fois où je t’ai laissé filer — tu sais, les fois où tu as eu peur et où tu n’as pas appelée. Ou les fois où tu ne savais pas quoi faire de moi et que tu t’es enfui dans l’autre pièce dans le sanctuaire de ton ordinateur, ou à ton bureau dans le sanctuaire d’une autre femme. Quand c’est arrivé, je suis tombée sous le même joug que celui de la peur qui t’étreignait, et je n’étais pas prête à faire confiance au fait que tu pouvais entendre la vérité, que ça faisait mal, que tu me manquait, que je t’aimais. Je croyais que tu étais incapable d’être présent. En en cela, j’ai fait de toi un homme moindre. Je m’excuse d’être sorti avec toi en sachant que j’étais trop bien pour toi, mais parce que je me sentais seule ou que je m’ennuyais… et de t’avoir ensuite gonflé d’hormones et d’énergie au point de tomber amoureuse de ma propre création — juste pour découvrir en retirant la prise de toute cette énergie que j’y avais mis, que tu te dégonflais pour redevenir celui que tu avais toujours été, restant aigri et confus de voir que je n’étais plus intéressée, et qu’il n’y avait plus moyen d’obtenir ta dose gratis. Et je m’excuse profondément de t’avoir traduit le language féminin. Je sais que ça ressemble à quelque chose comme du cunéiforme mais, en te le traduisant, je t’ai traité de la même manière q’un Américain est traité en France quand on l’assimile immédiatement à un idiot d’Américain et qu’on le dorlote en lui parlant anglais. Et un an après vous n’avez toujours pas appris la langue, vous restez un étranger. J’ai accepté l’histoire que tu m’as vendue comme quoi tu étais stupide et benet et que tu ne pouvais pas comprendre. Voilà comment j’ai manifesté ma supériorité. Et cela n’est pas juste. Je m’excuse de ne pas a’voir dit, s’il-te-plaît-s’il-te-plaît-s’il-te-plaît arrête avec tout ce trip de la « déesse divine » et de la sensibilité et de me rencontrer avec le complément parfait de la « masculinité authentique » — si c’était l’homme dont je voulais, je le trouverais. Je te veux dans tout ce que tu as de bizarre, d’excentrique, d’imparfait, de complètement non raffiné. C’est là que je tombe amoureuse de toi. Je suis désolée d’avoir été si réticente à te donner le moindre indice sur la manière d’être avec moi, à tel point que tu as du écouter d’autres hommes qui n’en avaient pas non plus la moindre idée, et te transformer en une caricature de toi-même. Enfin, je m’excuse d’avoir essayé de te protéger pour que tu ne saches pas combien mon amour pour toi est profond. D’une profondeur sans fond." Le Slow Sex “traditionel” s'adresse surtout à l'intimité des couples et plus spécifiquement à la relation sexuelle. Et cela est très bien. Ayant été formée comme coach de méditation orgasmique, il me tiens à coeur de proposer cette philosophie et ces pratiques corporelles à tous, que l'ont soit en couple ou pas. C'est pourquoi le Slow Sex Love life va bien au delà de la relation sexuelle et s'adresse à toutes les personnes majeurs et capables de consentement éclairé et du respect des limites de l'autre. Slow Sex Love Life : C'est le développement personnel et la pleine conscience au service de l'intégrité, du libre arbitre, de la souveraineté de chacun, dans son corps, sa sexualité et sa vie amoureuse. De la même façon que la méditation apporte plus de conscience sur notre respiration ou notre mental, le Slow Sex Love Life apporte plus de conscience : présence à son propre corps, ses émotions, ses ombres, son désir, ses peurs ET ensuite dans la relation à l'autre bien sûr avec nos amants et nos amoureux ET aussi par la sororité et la fraternité. Le Slow Sex Love Life va à l'encontre de toutes les normes et habitudes de la 'sexualité traditionnelle' pour privilégier l’authenticité, la justesse, la connexion avec l’autre plutôt que la recherche de la performance, de la satisfaction des pulsions, et d’une sexualité basée sur l’échange : ceci pour cela. Cela se fait par l'apprentissage du consentement, des fonctionnements et mécanismes humains, de la présence soutenue, de la gestion de son excitation/libido. Quelques exemples de principes clés :
Les apports :
Témoignages : http://www.meditationorgasmique.com/blog/temoignages L’intention : Slow Sex Love Life se veut sans jugements, neutre et respectueux vis à vis des choix de chacun d'être monogame, polyamoureux, libertin, échangiste.... Idem vis à vis de l'identité de genre ou d'orientation sexuelle, de la culture, handicap, âge, couleur de peau etc. Au delà de ce respect de chacun, le collectif souhaite créer des espaces sécurisé où les personnes peuvent explorer au delà étiquettes, modèles et moules pour mieux sentir ce qui est vrai et juste pour elles à un moment donné. Le Sow Sex Love Life :
Plusieurs courants influencent le slow sex love life : La Programmation Neuro Linguistique Pour la communication positive et le principe d'être créateur conscient et responsible de sa vie par exemple. Le mouvement Sex Positive : C’est un mouvement social et philosophique qui promeut la sexualité et son expression avec pour bases : sécurité et consentement. Être “sex positive” c’est encourager le plaisir et l’expérimentation sexuels et considérer toutes les activités sexuelles consenties comme fondamentalement saines et plaisantes. L’éducation populaire et l’expérimentation sont une part très importante de ce mouvement. Ce mouvement ne fait pas de distinction morale entre les différents types d’activitées sexuelles et considère qu’il s’agit de choix et de préférences personnels. Le Slow Sex des Richardson's des Descombes et de Stephen Vasey : C'est une approche plus proche du tantra qui s'adresse principalement aux couples et intègre des notions de polarités masculin/féminin. C'est un enseignement plus concret et pratique sur comment faire l'amour là où le slow sex love life ne donne pas de mode d'emplois pour faire l'amour mais propose des pratiques qui vont influencer naturellement et sans efforts nos façons de faire l'amour entre autre. La méditation orgasmique (Nicole Daedone) C’est une méditation que l'on pratique à deux que l'on soit en couple ou pas. Dans un cadre et un protocole précis (gants, timer, intention, communication) une personne caresse le clitoris de l'autre pendant 15 minutes sans tenter de la faire jouir ni pour lui 'faire plaisir'. Uniquement les vêtements nécessaires sont retirés : la personne qui caresse habillée et l'autre ne retire que le bas. Il n'y a pas de réciprocité : on ne change pas de rôles. Et là où elle surprends ses pratiquants c'est dans le fait que ainsi, telle quelle : elle apporte énormément de bien-être et de sensations aux hommes qui caressent les clitoris de leurs partenaires. Voici des témoignages d'hommes : http://www.meditationorgasmique.com/blog/vertues-de-la-non-reciprocite-en-meditation-orgasmique-et-slow-sex-love-life Elle permet une compréhension et une réconciliation entre les hommes et les femmes donc voici un bel exemple : http://www.meditationorgasmique.com/blog/mes-yeux-dans-ta-vulve Exemples de pratiques Slow Sex 10 propositions qui garantissent le cadre de pratique Slow sex : 1- identification du désir de s'engager dans une pratique. 2- Demande/invitation (si pratique avec partenaire) et planification : quand, où, etc. 3- Négociation : durée, rôles, etc. 4- Rituel d'ouverture : a - Connection à soi b - Ancrage à deux /connection à l'autre c - Noticing : Observation concise & neutre 5- Communication neutre : Ajustements, demandes, offres, obervations 6 Au signal du timer, 2 minutes de 'redescente' à la fin. 6- Ancrage final à la fin du timer. 8- Partage d'une sensation 9- Rituel de clôture connection à l'autre et 'retour à soi' (accepter fin & 'séparation apparente') 10- Bien “redescendre”, revenir à soi, observer son état, intégrer.
La méditation orgasmique nous ramène dans le présent, nous connecte à un autre être humain d'une manière indéniable et libère et équilibre les hormones du bonheur :D. Nelly Germain, Fée des Plaisirs de la région Toulousaine conseillère en sex toys, guide sur le chemin du Tantra. Pétillante, d'une joie de vivre contagieuse et en même temps pleine de profondeur et de sagesse, Nelly qui ne fait pas son âge a plus d'un tour dans sa besace ! www.tantra-sudouest.com
Nathalie Giraud, Sexothérapeute & fondatrice de Piment Rose. Nathalie est une pionnière en France pour une sexualité, vivante, vrai et décomplexé. Nathalie est inspiration de part sa créativité et son courage. Elle est basée à Paris et sur la côte d'Azur. http://www.nathalie-giraud.fr Ce fut un cercle avec uniquement des hommes, alors j'ai partagé mon point de vu de cette manière. N'hésitez pas à ajouter votre point de vu, vos suggestions, combler les manques, ajuster etc J'étais très fatigué, mais chose promise chose dûe, si j'en refais une mieux j'effacerais celle-ci en attendant merci de votre indulgence ! Si vous avez trouvé ça intéressant venez Vendredi prochain sur Paris OU demandez-moi de venir faire un cercle de coaching dans votre coin. Je coach aussi personnellement par skype, téléphone et ou en personne sur Rennes et Paris :)
Petit glannage pas mal du tout ! Évidemment, tout se recoupe !
Qu'est-ce que la "tumescence" ? Dans le dictionnaire c'est simplement; "Action par laquelle une chose s’enfle; (Médecine) Augmentation de volume du corps ou d'une de ses parties; État d'un organe gonflé" Chez nous, pratiquants de la Méditation Orgasmique, nous avons approfondi et recherché ce qu'il y avait derrière ce "gonflement" ! Et voici ce que nous avons trouvé : "Énergie non utilisée", je m'explique, quand nous avons de l'énergie dans le corps qui stagne, qui n'est pas mise en circulation on peut avoir toute sorte de symptômes. Comme l'irritation, la fatigue, la somnolence, l'hystérie, avoir les nerfs à crans etc. Pour chaque forme de tumescence son remède ! Petite anecdote: au début de ma formation je vivais avec entre autre un coach plus expérimenté que moi. Il m'arrivait le matin de me sentir très fatiguée, avec un léger mal de tête, avec qu'une envie, retourner au lit. Je prennais ça pour de la fatigue chronique ou fibromyalgie qui m'avait affecté lourdement l'année précédente. Et cet ami me disait: bouge ton corps, tiens, fais-donc le ménage, ça te fera du bien ! Et je ne comprenais pas comment faire le ménage pouvait soigner ma somnolence, mais prête à tout tenter, je commence donc à faire le ménage et à ma grande surprise une heure plus tard je me retrouve à danser, toute joyeuse et prête à être active ! Une autre forme de tumescence peut être l'irritation, quand nous avons les nerfs à fleur de peau, que tout nous agaçe ou choque notre systeme, pour moi c'est le bruit du réfrigérateur la nuit, le bruit de fond des enceintes, le bruit de mastication des gens autour de moi, les conversations qui ne mènent à rien, les claquements de pas dans la pièce d'à côté. Et bien vous savez quoi ?! Quand je passe la nuit avec mon chéri, rien de tout cela ne me dérange, rien du tout, vous pouvez faire la fiesta à côté et faire tourner des machines électriques, rien ne me touchera, je serai aux anges, un sourire béat sur le visage, aimante, facile et douce ! On dit chez nous que quand une femme est "Turned ON" ou "allumée" on ne peut rien faire de mal, et quand elle est "Turned OFF" ou "éteinte" on ne peut rien faire de bien. Lorsque nous sommes tumescent-e-s c'est que nous sommes allumés sans le savoir ! Donc on ne profite pas de notre énergie. Pour passer de Turned OFF à Turned ON, il suffit de devenir conscient de notre état et de l'accepter pour aller vers nos désirs. Si tout cela vous semble encore obscur, regardez-donc cette vidéo et dites-moi ce que vous en pensez ! Si vous lisez l'Anglais, voici un magnifique article écrit su le sujet par la fondatrice de la Méditation Orgasmique;
http://nicoledaedone.com/tumescence-where-the-problem-isnt-what-it-seems-and-the-solution-is-always-orgasm Merci ! |
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